Les finances de la ville sont le reflet de choix politiques

Les Grandes Plantes : la vente à un promoteur
d’un des derniers terrain idéalement
placé pour un service public.

L’équipe sortante a choisi le repli du service
public et une gestion à court terme.

1. Une politique inconsidérée de vente du patrimoine
communal
(10 millions d’euros sur la mandature) qui restreint
les futures possibilités d’aménagement de la ville.

2. Une politique de gestion des ressources humaines qui traduit un désengagement de la ville en termes de qualité et de pérennité
des services rendus aux usagers : en 5 ans baisse drastique des effectifs (- 57 équivalents temps plein) accentuée par une évolution inquiétante des statuts (- 89 titulaires, + 54 contractuels). Tout en augmentant brutalement la population de la ville et donc la demande de services publics…

3. Contrairement aux engagements, une augmentation des impôts par l’application, au taux maximal, de la Taxe sur la Consommation Finale d’Électricité pèse lourdement sur les ménages (+ 2,4 millions d’euros de prélèvements en plus sur la mandature).

4. Un investissement lourd de 4 millions d’euros, le pôle médical, qui mobilise de l’argent public pour financer des intérêts privés sans augmenter l’offre médicale et sans assurer un service public de santé accessible à tous. Il pèsera sur les prochains budgets, comme les 1,3 millions d’euros du parc et du kiosque Leyma, très peu utilisé.

5. Des dépenses importantes en communication : abondance de plaquettes et d’affiches de promotion des élus de la majorité municipale.